Le monde est un projet fait de bons et de mauvais projets.
Ensemble, créons un monde de bons projets.
Puisque le design urbain est un nouveau métier, la question des débouchés professionnels est centrale pour nous.
Originalité de l’option: en Master, nos étudiants sont invités à prendre le statut d’étudiant-entrepreneur (en tant qu’étudiant-indépendant fiscal, ou via la création d’une association ou d’une coopérative, ou via contrat Smart).
Ce statut signifie que l’étudiant est mis en situation d’avoir une activité artistique réelle dès ses études. De bâtir son avenir.
De trouver des commanditaires, développer sa créativité, et découvrir aussi l’importance – relative – de gagner de l’argent.
Quels débouchés professionnels?
Le développement récent du « city branding » offre de réelles opportunités pour les métiers de la communication, dont le design urbain fait partie. La Wallonie et Bruxelles manquent encore cruellement d’opérateurs formés pour cette nouvelle matière. La région des Hauts-de-France aussi. Autre orientation possible: le domaine de l’Art public (sculpture, graphisme). Ou intégrer des bureaux d’architecture, d’urbanisme, de paysagisme voire d’événementiel. Ou le secteur public, car femmes et hommes politiques (re)commencent à prendre conscience de l’importance d’intégrer des compétences créatives au sein des leurs cabinets et des administrations.
Enfin le terme urbain est trop souvent opposé à la notion de ruralité. Ceci peut laisser penser que le design urbain n’existerait que dans quelques grandes villes. C’est totalement faux! On a besoin de bons designers partout. Et il y a du pain sur la planche… : Bruxelles compte 19 communes, la Wallonie 262, et les départements du Nord et du Pas-de-Calais plus de 1.500 (620 communes de plus de mille habitants, 918 de moins de mille).